24 Heures … C'est le temps qu'il me reste avant de partir en vacances.
Et j'ai plein de trucs à préparer demain matin, ce que je vais sûrement faire à la va-vite pour me barrer d'ici le plus rapidement possible. Explication : Madame est partie chez ses parents et je me retrouve seul avec le chien en pleine alerte orange de chaleur. Il fait près de 40 degrés depuis trois jours. Toutes mes intentions de pédalage ont fondu au soleil - à l'ombre aussi, d'ailleurs. La seule solution c'est de rester caché à l'intérieur et sortir à la nuit tombante. L'option réveil à six heures du matin pour profiter d'un peu de fraîcheur n'est pas envisageable dans mon cas… Bref, il ne me reste plus qu'un concert ce soir, en extérieur et probablement en plein soleil : les espagnols ont ce détail particulièrement génial qu'aucun concert organisé en été ne profite de parasols, toiles ou autre système permettant de protéger le matériel et ses utilisateurs de l'intense rayonnement nucléaire qui brûle tout ce qu'il touche. Comme ça, les consoles qui n'ont pas entièrement fondu en plein soleil d'Andalousie au mois d'août ont une chance de mourir noyées sous les trombes d'eau d'un orage d'été. Génial.
Je compte bien pouvoir profiter du grand réseau de pistes cyclables qui entoure la Gironde et les Landes, sous des températures bien plus supportables par l'être humain.
Dans un autre registre, Lady Champagne m'a fait parvenir quelques images de son destrier, en référence à l'équipe Scott (mais sans Saunier-Duval) que nous formons avec l'ami Grobobo. En tout honneur, voici par conséquent ces images qui parlent d'elles-mêmes.
Ça ce sont ses nouvelles pédales Crank Brothers dont il est très fier.
Et la selle Brooks, un classique du genre. Pour ma part, les options de chez Brooks, avec le modèle "sans préparation" que l'on tanne avec son propre postérieur durant 1 000 kilomètres ou plus, m'ont toujours un peu fait peur. Et pourtant, mon cul devrait être suffisamment rembourré…
Maintenant je vais vous laisser dormir ou travailler pour aller en faire de même. Et puis je n'ai plus rien à dire, alors…
Et j'ai plein de trucs à préparer demain matin, ce que je vais sûrement faire à la va-vite pour me barrer d'ici le plus rapidement possible. Explication : Madame est partie chez ses parents et je me retrouve seul avec le chien en pleine alerte orange de chaleur. Il fait près de 40 degrés depuis trois jours. Toutes mes intentions de pédalage ont fondu au soleil - à l'ombre aussi, d'ailleurs. La seule solution c'est de rester caché à l'intérieur et sortir à la nuit tombante. L'option réveil à six heures du matin pour profiter d'un peu de fraîcheur n'est pas envisageable dans mon cas… Bref, il ne me reste plus qu'un concert ce soir, en extérieur et probablement en plein soleil : les espagnols ont ce détail particulièrement génial qu'aucun concert organisé en été ne profite de parasols, toiles ou autre système permettant de protéger le matériel et ses utilisateurs de l'intense rayonnement nucléaire qui brûle tout ce qu'il touche. Comme ça, les consoles qui n'ont pas entièrement fondu en plein soleil d'Andalousie au mois d'août ont une chance de mourir noyées sous les trombes d'eau d'un orage d'été. Génial.
Je compte bien pouvoir profiter du grand réseau de pistes cyclables qui entoure la Gironde et les Landes, sous des températures bien plus supportables par l'être humain.
Dans un autre registre, Lady Champagne m'a fait parvenir quelques images de son destrier, en référence à l'équipe Scott (mais sans Saunier-Duval) que nous formons avec l'ami Grobobo. En tout honneur, voici par conséquent ces images qui parlent d'elles-mêmes.
Ça ce sont ses nouvelles pédales Crank Brothers dont il est très fier.
Et la selle Brooks, un classique du genre. Pour ma part, les options de chez Brooks, avec le modèle "sans préparation" que l'on tanne avec son propre postérieur durant 1 000 kilomètres ou plus, m'ont toujours un peu fait peur. Et pourtant, mon cul devrait être suffisamment rembourré…
Maintenant je vais vous laisser dormir ou travailler pour aller en faire de même. Et puis je n'ai plus rien à dire, alors…
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